vendredi 1 avril 2016

Salvador Bachiller (ça pique les yeux)

En arrivant à Madrid, j'ai découvert un nom, ou plutôt une marque, qui me met en joie : Salvador Bachiller (enfin, peut-être que c'est un vrai monsieur au départ, hein, va savoir). Pas trop loin de chez moi, il y a une boutique, gigantesque, avec plein de petits paliers, de coins et de recoins. Non, pas du tout mignonnette, jolie ou charmante. Super moche (et qui pue un peu je trouve, enfin, disons que ça sent un peu comme les magasins Lush, que je suis capable de repérer à 500 mètres rien qu'en reniflant tellement ça me soulève le coeur, et en plus la boutique Salvador Bachiller n'est pas loin d'un Lush, ceci expliquant peut-être cela fin de la parenthèse). Sur des mètres et des mètres carrés, Salvador te vend des gilets en peluche, des tasses à thé de mémés centenaires, des chaussures de maquereau, des claviers d'ordi en bois et des cloches pour appeler ton majordome. Mais il te vend aussi des sacs. Et des pochettes. En part de tarte. Au citron ou au myrtilles, c'est toi qui choisis, oui, oui :

Oui, ceci est un sac (enfin… ceci sont des sacs, des pochettes plutôt)

Et comme je ne peux pas dire QUE des méchancetés sur ce bon vieux Salvador, et que je suis UN PEU une cinglée du sac, OUI, j'avoue, j'ai craqué sur la boîte de thon (mais en gris) :

La classe à Dallas, non ? (copyright Sabine)

Et si vous avez une bonne copine qui ne se déplace jamais sans son APN, vous pouvez lui offrir ce MAGNIFIQUE sac-appareil photo :

(Ah bah oui, j'avais prévenu dans le titre que ça piquait les yeux)

C'est tout pour aujourd'hui :) Hasta luego !